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Adhérez, ou ré adhérez au SNETAA FO NICE

Pourquoi se syndiquer au SNETAA FO NICE ?

Parce que…

• C’est le seul syndicat crédible et sérieux qui sait de quoi il parle quand il aborde le sujet de l’enseignement professionnel
• C’est un syndicat d’adhérents, de terrain, indépendant et prônant la laïcité comme valeur fondamentale.
• Sa majorité en CAPN, sa présence dans toutes les instances paritaires académiques (CAPA, CTA) et départementale (CTSD) lui permettent de se faire entendre et d’être écouté.

• Sa présence affirmée dans les Régions, les inspections académiques, les conseils généraux, les commissions de réforme… font de lui un partenaire incontournable lors des réunions sur la formation professionnelle initiale

• Nous nous faisons un devoir de vous informer correctement et rapidement, de défendre vos dossiers auprès du Ministère, des rectorats et de votre établissement. Nous suivons votre carrière à chaque étape (mutations INTER et INTRA, promotions d’échelon, hors classe…) et vous accompagnons dans toutes vos démarches.

Alors n’hésitez plus et ne vous laissez pas abuser par des syndicats peu représentatifs et qui se réveillent lorsque l’actualité leur permet !!!

Ne restez pas isolé(e) face à une administration parfois injuste

Ne laissez pas vos conditions de travail se dégrader

Adhérer et faites adhérer au SNETAA FO : Le 1er syndicat de l’enseignement professionnel qui vous défend vraiment

Le SNETAA FO n’est pas un syndicat d’étiquette, mais de convictions.

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contre la réforme des collèges

manif toulon

L’intersyndicale des enseignants appelle à un rassemblement le jeudi 11 juin à 10h00, devant le siège du PS.

Forcément assimilée à « une provocation qui montre un réel mépris des personnels », les syndicats d’enseignants ne digèrent pas la publication au Journal officiel des textes déclinant la réforme du collège « au soir même d’une grève majoritaire dans les collèges [le 19 mai dernier, ndlr] ». Ils appellent donc à un nouveau mouvement ce jeudi 11 juin. Et donnent rendez-vous à « tous les personnels, mais aussi tous les citoyens soucieux d’une éducation nationale de qualité » à converger à 10 heures devant le siège de la fédération du Var du Parti socialiste (5, rue Picot). Le cortège se rendra ensuite en Préfecture, où une délégation remettra les pétitions exigeant l’abrogation du décret (à signer sur : http://unautrecollege2016.net/).

En dépit de l’optimisme affiché par la ministre de l’Éducation nationale, les syndicats n’ont aucunement l’intention de se mettre autour de la table pour affiner les rouages de la mise en oeuvre du décret, comme le prévoit Najat Vallaud-Belcacem. « En tout état de cause, nous refusons de discuter des modalités d’application de cette réforme », prévient-on du côté de la section départementale du SNES-FSU.

Et si la manière est fustigée, c’est bien le fond qui fait l’objet de crispations. A commencer par « la remise en cause l’existence des SEGPA actuelles [des sections adaptées aux élèves en difficulté, ndlr] ».

Mais le principal point d’achoppement reste lié aux fameux 20% d’autonomie accordés aux établissements, assortis d’une « baisse des horaires ». Dominique Queyroulet (SNES-FSU) explique : « Au lieu de 28,5 heures de cours, les troisièmes n’auront plus que 26 heures dont 1 heure d’accompagnement personnalisé et 3 heures d’enseignement pluridisciplinaire. Nous avons fait le calcul : les élèves auront 400 heures de cours en moins ! »

Préavis pour le mois de juin

Le responsable départemental dénonce en outre, dans ce cadre, la latitude laissée à chaque collège de traiter de manière transversale entre matières huit thèmes durant le cycle 4 (5ème, 4ème, 3ème), la contrainte étant d’en couvrir deux par an. Des thèmes tels que la santé, la culture, l’écologie… « correspondant aux enjeux du monde actuel », défend le ministère.

Or cette mesure équivaut, selon lui, à « une désorganisation de l’Éducation nationale ». Et l’abandon d’un « programme fléché », explique-t-il, pénalisera les élèves arrivant en cours d’année, puisque la progression dans les contenus variera d’un établissement à l’autre.

Le secrétaire varois SNES-FSU craint en outre des conséquences sur les conditions de travail des enseignants : moins d’heures par classe, donc plus de classes, un besoin de concertation accru sans qu’un temps pour cela ne soit prévu…

Si une nouvelle fois, après le rendez-vous de jeudi, la ministre ne tenait compte de leurs revendications, les syndicats précisent qu’« un préavis national de grève a d’ores et déjà été déposé afin de couvrir toute action pendant le mois de juin ».